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All-Star 2025 : L’IA balance ses meilleurs roasts sur les joueurs sélectionnés à l’Est !


© Ball Time

Le All-Star Game 2025 vient de se terminer et quoi de mieux que de confier à l’intelligence artificielle la mission de titiller avec une bonne dose de piquant les stars sélectionnées cette année ?

Accrochez-vous, certains égos risquent de ne pas s’en remettre !

Giannis Antetokounmpo, le roi des votes, mais pas des lancers

4,4 millions de votes… mais toujours pas 80% aux lancers-francs. Le Greek Freak a porté Milwaukee, mais le vrai miracle, c’est qu’il ait enfin trouvé un coéquipier qui sait finir les matchs à sa place. Bravo Dame, tu gères !

Karl-Anthony Towns, la star des Knicks (oui, vous avez bien lu)

Le mec a quitté le Minnesota, et devinez quoi ? Il est devenu… un leader ? On parle bien de KAT, celui qui se faisait dominer par des mecs qui travaillent chez Home Depot l’été ? New York l’a transformé, c’est quoi la suite ? Julius Randle MVP ?

Jalen Brunson, plus qu’un simple "bon joueur"

Brunson continue de prouver que Dallas a commis le plus gros braquage depuis Ocean’s Eleven en le laissant partir. Pas flashy, pas ultra médiatisé, mais efficace. Bref, un vrai Knick.

Donovan Mitchell, le patron de Cleveland

Cleveland premier à l’Est, Donovan Mitchell qui domine… c’est sûr qu’on parle toujours de Cleveland et pas des Cavs de LeBron en 2016 ? Si ça continue, il va falloir accepter que Mitchell est peut-être le premier All-Star de l’histoire à être vraiment heureux à Cleveland.

Jayson Tatum, le joueur le plus constant du monde

Tatum, c’est le mec qui fait tout bien : il score, il défend, il rebondit… Mais dès qu’un match serré arrive, il se met en mode « passe au copain ». Pas étonnant que Boston ne l’élève pas encore au rang des légendes : il lui manque ce petit grain de folie qui fait les plus grands.

Darius Garland, sous-estimé mais indispensable

Il fait le taf, il joue bien… mais il reste le deuxième gars qu’on cite après Mitchell.

Damian Lillard, à moitié satisfait

Dame a enfin une équipe qui gagne, mais il doit se contenter d’un rôle secondaire. Son rêve était de gagner en étant "le mec", et il a fini par comprendre que ça n’arriverait jamais.

Jaylen Brown, le Scottie Pippen moderne

Toujours un peu dans l’ombre de Tatum, mais il fait le boulot. Sauf que contrairement à Pippen, personne ne débat sur lui pour savoir s’il est une légende.

Evan Mobley, la machine silencieuse

Il est hyper efficace, ultra important… et pourtant, tout le monde s’en fout. Mobley, c’est le genre de gars qui pourrait sauver un chat d’un arbre, et les gens remercieraient l’échelle.

Tyler Herro, le shooter qui ne s’arrête jamais

Il shoote tellement que même Steph Curry lui dirait de se calmer, il doit même penser que chaque possession est un concours à trois points. Si c'était un super-héros, son pouvoir serait de tirer n'importe quand, n'importe comment.

Cade Cunningham, génie coincé à Detroit

Doit être le seul à encore croire en Detroit.

Pascal Siakam, de retour à l’anonymat

De champion NBA à "bon joueur à Indiana", c’est pas le glow up attendu.

Trae Young, une passe pour 30 tirs

Un match, il ressemble à Steph Curry sous stéroïdes. Le match suivant, il shoote 5 sur 25 et force plus de tirs que n’importe quel joueur en NBA. Il est l’alpha et l’oméga du basket moderne : tout pour l’attaque, rien pour la défense.

Vous avez aimé ? N’hésitez pas à nous le faire savoir et à aller voir le roast de la conférence Ouest.