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All-Star 2025 : L’IA balance ses meilleurs roasts sur les joueurs sélectionnés à l’Ouest !


© Ball Time

Le All-Star Game 2025 vient de se terminer et quoi de mieux que de confier à l’intelligence artificielle la mission de titiller avec une bonne dose de piquant, les stars sélectionnées cette année ?

Accrochez-vous, certains égos risquent de ne pas s’en remettre !

Shai Gilgeous-Alexander, l’acharné du MVP

Le mec joue comme s’il avait découvert un cheat code pour être intouchable… sauf en playoffs. Il a tellement perfectionné le mid-range que même DeMar DeRozan lui demande des conseils. À ce rythme, il va finir par déposer un brevet sur le pull-up à 4 mètres.

Stephen Curry, le vétéran qui refuse de partir

Steph en All-Star, c’est un peu comme ton oncle qui vient encore aux soirées étudiantes à 40 ans. On l’adore, mais le voir galérer à porter des Warriors à l’agonie, ça fait de la peine. Il shoot toujours à 3 points comme un sniper, mais avec un 11ème spot à l’Ouest, c’est comme mettre un néon sur une épave.

Kevin Durant, l’éternel "Je veux gagner"

KD, fidèle à son habitude, porte encore une équipe sur ses épaules… sauf que cette fois, même son dos commence à lâcher. 36 ans, 17 saisons, 10 franchises dans son cœur (enfin, là où il y a des superstars). Il est toujours aussi létal en attaque, mais il doit se demander si Phoenix n’est pas juste Brooklyn avec plus de soleil et moins de drama.

LeBron James, le vieux qui roule encore

22 saisons NBA, 40 ans, et il joue encore mieux que la moitié des jeunes qui ont grandi en regardant ses highlights. On parle d’un mec qui a connu les CD-Rom, MySpace et les Nokia 3310, et pourtant, il est toujours là à dominer. Son secret ? Un budget soins du corps qui dépasse le PIB de certains pays.

Nikola Jokić, le mec qui joue au basket comme au baby-foot

C’est simple : Jokić joue au basket comme si c’était une partie de plaisir. Il arrive, il prend 30 points, 13 rebonds, 10 passes… et il rentre chez lui nourrir ses chevaux. Les autres transpirent pour dominer, lui il fait ça en marchant, avec l’expression d’un mec qui attend son Uber.

Victor Wembanyama, plus grand que l’avenir de la NBA

Le seul joueur qui peut dunker et contrer en même temps sans sauter. Mais bon, vu les Spurs cette saison, il aurait peut-être dû postuler pour être aussi coach et GM.

Anthony Davis, le spécialiste du "Day-to-Day"

AD joue 42 matchs et c’est une surprise. Personne ne parle de ses stats, tout le monde se demande juste s’il va finir la saison sans se tordre la cheville en montant une marche.

Anthony Edwards, le futur patron

Ant joue avec l’énergie d’un gamin hyperactif sous Red Bull, et ça marche. Si son talent égalait son trash-talking, il serait déjà MVP.

James Harden, toujours là, toujours pas de bague

James Harden en 2025, c’est comme le dernier iPhone : toujours bien noté, toujours performant, mais plus personne ne l’achète avec enthousiasme.

Jaren Jackson Jr., la force défensive quand il en a envie

Défenseur de l’année, mais incapable de prendre un rebond… Comment c’est possible ?

Alperen Şengün, le Jokic discount

Şengün, c’est ce joueur qui fait tout bien, mais comme Jokic existe déjà, on le considère comme une version Lite. Pourtant, il porte Houston… mais bon, Houston porte qui, en vrai ?

Kyrie Irving, le philosophe du handle

Kyrie peut dribbler dans une cabine téléphonique, mais il est aussi imprévisible que ses tweets. Un jour il met 40 points, le lendemain il est en conférence de presse en train de parler de l’énergie cosmique. Dallas l’adore… tant qu’il ne décide pas que la NBA est une conspiration contre lui.

Vous avez aimé ? N’hésitez pas à nous le faire savoir et à aller voir le roast de la conférence Est.